Le Vieux Bouzina.


La commune de Bouzina est située au sud-ouest de la wilaya de Batna. Elle est bordée à l'Est par les communes de Wadi El Taga et Tazoult, à l'ouest par les communes de Ménaa et Tigherghar, au sud, par les communes de Chir et Thniyat al-Abed, et au nord, les communes de Maafa et Béni Fadala.

La commune de Bouzina est composée de 26 localités : Alou yaha, Aourir, Aouzeriane, Loumaleh, Morkha, Nirdhi, Sammer, Mezline, Khebraz, Tagoust Thamellalt, Tagoust Thazouggaght, Tidjdad, Tizougaghine, Tnazeft, Leklaîi, Elbardj, Vieux Bouzina, Bouzaher, Ighzer, Laabar, thaawinth n'zina (ine zina), aaoussib, anou anaddi, anou anij, anou anamesse, arrakatha, akarkar.

Bouzina (Algérie)

Douar issu du territoire de la tribu de l'Oued Abdi délimité par arrêté du 24 janvier 1903 et constitué en cinq douars : Oued Taga, Bouzina, Oued Abdi, Chir et Menaâ. Il est érigé en commune par arrêté du 12 janvier 1957.

La commune de Bouzina est une zone touristique et archéologique importante dans la Wilayat de Batna, et le nom de Bouzina a été donné en raison de son emplacement attrayant et de la beauté de sa nature, car il s’agissait d’une forêt dense et inexploitée et en raison de l’abondance de ses eaux le long de la vallée qui la divise en deux parties, Malo et Samer, et on ne peut y accéder sans passer par les hautes montagnes qui l’entourent.

Bouzina ⴱⵓⵣⵉⵏⴰ est une commune de l'état de Batna. Le nom de Bouzina lui a été donné autrefois en raison de sa situation attractive et de la beauté de sa nature, car il s'agissait d'une forêt dense et inexploitée et en raison de l'abondance de son eau le long de la vallée. qui la divise en deux parties, Malo et Samer, et il n'est pas possible d'y accéder sans passer par les hautes montagnes qui l'entourent. Elle se caractérise également par la diversité de la couleur de son sol, du rouge foncé au jaune vif, et son relief distinctif avec des montagnes rocheuses et de petites chaînes entrecoupées de vallées et de météores. De plus, les noms de ses lieux sont inspirés de son relief. .

Vieux Bouzina

Il s'appelle la Shawia « Thaqli'ith Thaqadhimet Nabouzina », signifiant l'ancien château de Bouzina, et c'est un centre touristique construit sur une colline rocheuse avec un ancien système urbain remontant à avant le déclenchement de la révolution de libération. de la révolution de libération, la France y a installé des centres de garde, a clôturé ses frontières et a renforcé la surveillance, et parmi ces centres se trouvent ceux qui existent actuellement Au haut du village, et pour descendre au bas du village il faut. passer sur une route sinueuse. En bas se trouvent les sources principales et commence la ceinture verte des vergers. La source « Abdul Sadiq », qui jaillit d'une grotte profonde et sombre, et non loin de là se trouvent deux petites sources émergeant de sous une maison en pierre qui existe encore aujourd'hui... A côté se trouve la source « Thet Ntabga » , qui est célèbre pour la très basse température de son eau. Il existe également plusieurs branches distinctes des principales sources d'eau, parmi lesquelles : Al-Ghar Ogroi, Aliu et Themtiherth, et en face de ces sources se trouve « Al-Kaf Netziunt ». », qui se caractérise par sa nature rocheuse dure et directement en dessous. Des figuiers, des mûriers, des raisins, des noyers et d'autres arbres fruitiers sont visibles pour le spectateur.


Aurir

Cela signifie la butte, et on l'a appelé ainsi parce qu'il est situé sur une montagne, où la butte s'appelle Thawarirth, ce qui signifie la forme féminine d'Orir. C'est le siège de la municipalité et du district, car sa création remonte au . ère coloniale, c'est-à-dire l'année 1958 après JC. Des tours de guet et un certain nombre de résidences furent construites pour les forces coloniales et de guérilla, ainsi qu'un quartier général de l'administration (SAS) SECTION ADMINISTRATIVE SPECIALE.

Le mot « Irthen » signifie blé. C'est une vaste terre fertile dont le climat continental est propice à la production de blé. Elle a reçu un prix pour la meilleure production à l'époque coloniale. Cette zone peut être classée comme zone touristique. comprend le mont Al Mahmal, entièrement recouvert de neige en hiver, et qui peut attirer les amateurs de ski jusqu'à 1840 m d'altitude au niveau de la mer.



Ringard

Depuis l'entrée du colonialisme français en Algérie, les habitants de la région n'ont cessé de participer à de multiples révolutions, notamment la révolution Al-Maqrani...etc

La région de Bouzina se caractérise par l'invulnérabilité de sa situation naturelle, car elle est située entre deux chaînes de montagnes extrêmement difficiles à pénétrer.

https://ar.wikipedia.org/wiki/%D8%A8%D9%88%D8%B2%D9%8A%D9%86%D8%A9

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https://www.facebook.com/eldjazairn1/videos/%D8%A8%D8%A7%D8%AA%D9%86%D8%A9-%D8%B1%D9%88%D8%A8%D9%88%D8%B1%D8%AA%D8%A7%D8%AC-%D8%B1%D8%A7%D8%A6%D8%B9-%D8%AA%D8%A7%D8%A8%D8%B9-%EF%B8%8F%D9%82%D8%B1%D9%8A%D8%A9-%D8%A8%D9%88%D8%B2%D9%8A%D9%86%D8%A9-%D8%A7%D9%84%D9%82%D8%AF%D9%8A%D9%85%D8%A9-%D9%85%D9%86%D8%B7%D9%82%D8%A9-%D8%AA%D8%A7%D8%B1%D9%8A%D8%AE%D9%8A%D8%A9-%D9%88%D8%B3%D9%8A%D8%A7%D8%AD%D9%8A%D8%A9-%D8%A8%D8%A5%D9%85%D8%AA%D9%8A%D8%A7%D8%B2/1025676408906248/

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Un patrimoine architectural en quête desauvegarde.

Distant de 8 km de la commune de Bouzina et de 80 km de la ville de Batna, Thagoust tire d’abord sa spécificité de la couleur rouge ocre de sa terre d’où son toponyme Thagoust signifiant la citadelle rouge.Thagoust dérive aussi du terme Thigouas qui signifie « ceinture » par référence aux vergers luxuriants qui entourent les habitations compactes du village.Elle est l’une des plus grandes agglomérations de la région et sa construction remonte, d’après les récits populaires traditionnels, à plus de 10 siècles.

Citadelle de l’extérieur, labyrinthe de l’intérieur : 

Le visiteur aux ruines de ce village constate d’emblée que cet ensemble urbanistique, vu de l’extérieur, prend l’aspect d’une citadelle tandis que son organisation intérieure l’assimile à un labyrinthe, oùil est impossible pour l’étranger de se repérer de pris abord à l’intérieur du fait de l’exiguïté de ses ruelles tortueuses et ses constructions compactes.La forme de citadelle s’explique, par l’exigence de défense pour l’époque.Les constructions en pierre s’élèvent jusqu’à trois niveaux et des troncs d’arbres sont utilisés pour séparer les rangés de pierres donnant aux habitations un aspect antisismique résistant aux tremblements.L’organisation spatiale était sous-tendue par une structure sociale rigoureuse.L’irrigation des parcelles de terre agricoles était organisée à tour de rôle (Nouba) en fonction de la superficie, le village disposait aussi de moulins fonctionnant à la force de l’eau et des horloges en pierre pour mesurer le temps grâce au soleil.Le système d’aération des maisons recourait à de petites ouvertures placées en haut des murs permettant la circulation optimale de l’airLa citadelle compte également une zaouïa et une mosquée réalisée dans la partie basse du village ainsi que des mausolées.L’Oued epynome qui coule de la région Ithine jusqu’à El Mehmel, a transformé la région en un paradis où poussent à profusion différentes cultures y compris les céréales.En dépit de son site montagneux, elle comptait de multiples vergers dont les récoltes de pommes, de poires, d’abricots, de cerises et figues, qui étaient troquées jusque dans les Zibans voisins contre des dattes.

BATNA - Une riche exposition de produits agricoles a été organisée lundi à Batna, avec à l'honneur la variété d’abricot "Rosé de Bouzina", célèbre notamment dans les régions de Menaâ et de Bouzina.


L’événement, initié par l’association agricole "Khlifeth" de Bouzina, en coordination avec la chambre de l’agriculture, sous le slogan "Notre richesse est dans la pérennité de notre production agricole ", a attiré de nombreux visiteurs, en particulier des producteurs du "Rosé de Bouzina".


Le président de l’association, Fayçal Chergui, a déclaré à l’APS que l’initiative vise à "promouvoir les produits de la région, en particulier le Rosé de Bouzina", et "à étendre les superficies réservées à sa culture".

Pour sa part, l’agriculteur et acteur de la société civile, Ahmed Zaidi, a évoqué la noblesse de cette variété d’abricot dans les régions montagneuses de Menaâ et de Bouzina, où la nature du sol est parfaitement adaptée à sa culture.

M. Zaidi a ajouté que le Rosé de Bouzina "se distingue des autres types d’abricots par son goût sucré et sa couleur rougeâtre, ainsi que par son noyau comestible et goûteux que les femmes de la région utilisent dans des préparations de confiseries et l’ajoutent à la confiture d’abricot pour lui donner une saveur particulière et unique".

La manifestation a constitué une occasion pour les agriculteurs de présenter les fruits de saison qu’ils cultivent, tels que les pommes, les prunes et les poires, ainsi que l’ail, le miel, l’huile d’olive, le safran et d'autres épices.

La plupart des agriculteurs participant à la manifestation, ont souligné que leur plus grand espoir repose sur le barrage de Bouzina, récemment mis en service, qui permettra, espèrent-ils, un apport supplémentaire en eau en vue de l’extension des surfaces actuellement exploitées et où pourraient être introduits d’autres types de plantations.

 Bouzina, située à une altitude de 1 300 m, dans une vallée secondaire partiellement isolée du sud-ouest du massif,

Les conditions climatiques sont rudes à Bouzina

les conditions de vie sont dures à Bouzina où le revenu est bas et où très peu d’apports extérieurs viennent améliorer les ressources des habitants. L’alimentation se compose essentiellement de la consommation des produits agricoles, blé dur, orge, fruits divers, légumes. Le bétail est rare, lait et viande entrent pour une très faible part dans l’alimentation. Celle-ci est caractérisée par un excès d’hydrates de carbone et de protéines végétales et un défaut de protéines animales. La période de soudure annuelle est difficile à la fin de l’hiver du fait de la rareté des apports extérieurs et de l’insuffisance des réserves alimentaires, aggravée entre 1970 et 1973 par plusieurs séries de mauvaises récoltes.

Le champ d’observation qu’il faut appréhender lorsque l’on veut typifier l’architecture aurasienne est d’une part le massif de l’Aurès lui-même, d’autre part ses abords immédiats, c’est-à-dire le piémont nord, région qui s’étend de Dra Taga à Timgad et le piémont sud jusqu’à El Kantara. Ce choix se justifie par la complémentarité qui lie la montagne à ses marges et par le lien de parenté architectural indéniable qui unit les organisations spatiales des piémonts et des vallées de l’Aurès.

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